ll était une fois un consultant qui donnait des formations en gestion de priorités
Sur plusieurs populations, dans plusieurs industries, le même constat: beaucoup de personnes qui veulent bien faire, qui sont loyales, engagées, dévouées.
Et pourtant, des pertes d’énergie, des frustrations, de la fatigue.
Comment réconcilier ces deux observations? Comment font-elles sens?
✅ La première idée qui me vient est banale: la vision de ce qui est nécessaire n’est pas claire ou en tous les cas pas partagée; ainsi, chacun s’agite dans son coin dans un mouvement semi-aléatoire.
La solution? Construire une vision partagée pour aligner les efforts ou au moins les faire tendre vers un même but.
Leadership, donc: proposer une vision est un des comportements attendus d’un-e leader.
✅ La deuxième idée est biologique: nos circuits dopaminergiques sont activés par une tâche accomplie qui fournit une sensation à valence positive. Court terme, urgent avant important, donc agitation sans forcément d’adéquation avec ce qui est nécessaire, surtout à plus long terme.
La solution? Je ne sais pas. Reprogrammer nos sensations par de subtils changements de représentation de ce qui est « bien »?
❓ Qu’en pensez-vous?